Lors d’un combat singulier, selon les outils que l’on utilise, il est certains point tout-à-fait stratégiques à atteindre, nous allons en voir quelques exemples à présent :
LA ZONE FACIALE :
Bien sûr, le visage constitue une cible de choix. Les yeux, le nez, la bouche et la mâchoire sont de bons endroit à frapper à mains nues ou avec des objets contendants, cependant ne perdez jamais de vue que porter un premier coup directement au visage au cours d’un affrontement n’est que peu judicieux, puisque nous préfèrerons attaquer à une zone hors du champ de vision en créant simultanément une distraction.
Cependant, on peut crever les yeux avec les pouces, et arracher les oreilles avec les mains. Attention toutefois à retirer prestement ses pouces des orbites juste après les avoir crevés, sans quoi l’agitation douloureuse du malade engendrerait une rupture de vos pouces au sein même de ses orbites occulaires. Peu arrangeant, donc.
LA GORGE :
Avec un couteau, y pratiquer des fentes, des plantés détournés ou des coups droits.
Avec la main, y frapper du poing la glotte, d’un coup dur, franc et sec. Attention toutefois, cependant qu’un petit coup calmera simplement votre opposant, un coup d’une force trop appuyée le tuera, même à mains nues.
LE COU :
Idéal à rompre pour « achever le travail ». On peut aussi y coupler une rupture du sternum, afin de perforer le péritoine. Viser avec une lame, les artères carotides.
LE CŒUR :
Avec un poignard, faire pénétrer la pointe dans l’interstice intercostal, puis y enfoncer à la garde la lame. Après quoi, on prendra soin de tourner le couteau sur lui-même, afin de faire jaillir un maximum de sang hors du circuit cardiaque.
À mains nues également, tout l’intérêt est dans la frappe répétée ; frappez dix fois de suite en l’espace de quelques secondes, et avec une très forte violence le cœur de votre ennemi, et il aura de bonnes chances de rebondir dans la poitrine, causant ainsi une hémorragie interne légère, et du même coup un œudème cardiaque létal.